Selon Microsoft, l’une des exigences de Windows 11 sera intégrée dans sa nouvelle puce, baptisée TPM (Trusted Platform Module). Vous ne le savez peut-être pas mais Windows 10 peut déjà profiter du Trusted Platform Module.
Cependant, au cours des dernières années, Microsoft a considérablement modifié Windows pour améliorer sa sécurité, et au fil du temps, les normes de sécurité de l’information doivent être améliorées pour nous protéger contre les attaques malveillantes. Microsoft pense que les attaques basées sur le matériel et le micrologiciel sont en augmentation. C’est pourquoi Microsoft applique désormais la puce Trusted Platform Module (TPM). Mais qu’est-ce que c’est ?
Une puce intégrée à la carte mère
Les modules de plateforme de confiance (TPM) sont une puce qui est soit fera partie intégrante de la carte mère ou intégrée séparément au processeur.
Ci-dessous une vidéo présentant cette puce :
https://www.youtube.com/watch?v=HkdZwc8rRGQ
Il a pour but de protéger les informations d’identification des utilisateurs, les clés de chiffrement et diverses données sensibles. Cela permet en outre de bloquer les attaquants et les logiciels malveillants. Ces derniers ne pourront donc plus atteindre les données ou les altérer.
Des fonctionnalités supplémentaires
Pour les connaisseurs en matériel, cela n’explique même pas grand-chose. Pour élaborer, un module de plate-forme de confiance (TPM) est une puce spéciale conçue pour stocker en toute sécurité des éléments de données spécifiques utilisés pour authentifier l’appareil.
Il peut s’agir de mots de passe, de certificats de signature ou de clés de chiffrement. D’autres cas d’utilisation courants sont l’intégrité de la plateforme, c’est-à-dire s’assurer que l’appareil démarre avec un mélange approuvé de matériel et de logiciels et non quelque chose de malveillant, le cryptage de disque et même la gestion des droits numériques (DRM). Le rapport inaugural Security Signals de Microsoft pour mars 2021 nous a montré que 80 % des entreprises ont subi une attaque de micrologiciel au cours des deux dernières années, cependant, moins d’un tiers de leurs budgets de sécurité sont consacrés à la protection du micrologiciel.